Dolce Vita
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 Quand le temp s'évanouit [Res.]

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AuteurMessage
Robbie M
Invité




Quand le temp s'évanouit [Res.] Empty
MessageSujet: Quand le temp s'évanouit [Res.]   Quand le temp s'évanouit [Res.] EmptyDim 11 Juin - 0:04

Les en revoir avait été comme a chaque fois, pénible. Même du haut de ses vingts ans, Robbie souhaitait toujours passé ses vacances avec les siens, dans leur maison de vacances se situant dans les abords de Liverpool. Aprés une année passer loin de son pays, il avait un certain besoin de se ressourcé et ne pas oublié ses origines. Mais malgré ses moments de nostalgie, l'Italie était comme son second pays et il lui arrivait parfois de ressentir un manque de chaleur surtout face au temp pluvieux Anglais. Le voyage aurait été long et épuisant pour toute personne normal ou peu habitué a se genre de voyage, mais Robbie y était parfaitement habitué et la plupart du temp essayait de faire passer les heures de vols en donnant vie à de nouvelle composition. Mais cette fois ci, Robbie n'avait pas sut retenir ses yeux, les laissant se fermé au doux son des mélodies de Ray Charls, pour toute la durée du voyage.

Lorsqu'une hotesse était venu lui tappoté l'épaule pour le réveillé et lui dire qu'il était arrivé à l'aéroport, Robbie avait d'abord été ettoné avant de déposer son regard du coin de l'oeil sur les courbes de la jeune femme. Le temp était passé bien plus vite qu'il ne l'aurait crut. Un léger sourire s'était alors echappé de ses lévres en voyant de nouveau le ciel et le soleil italien, il était enfin de retour. Aprés avoir prit un taxi, Robbie était arrivé à l'école, son saxophone dans les mains vers les coups de midi. En pénétrant dans le hall, il avait alors aperçut quelques connaissance, sans vraiment y porté grande attention, le jeune Meyers était monté posé ses valises pour redescendre aussi vite. Il avait été une bonne partit de la matiné dans un avion enfermé, il n'etait pas question de rester quelques instants de plus entre les murs de l'établissement. Muni toujours de son saxophone, qu'il n'avait pas quitter depuis qu'il était descendu de l'avion, Robbie s'était dirigé avec enthouisasme vers le parc pour pouvoir déposer ses lévres sur le bec de son cuivre et lacher un doux son jazzy dans la chaleur italienne.

Franchissant une nouvelle fois les portes de l'entrée, il faillit bousculé un jeune élève surment de premiére année puisque s'est parent n'etait pas loin de lui, qui était surexcité a l'idée d'etudié ici. S'excusant de sa maladresse, Robbie se mit a pensé a la premiere fois où il avait franchit ses portes seul et non comme se jeune etudiant avec ses parents. Puis il reprit son chemin vers le lieu de ses désirs. Le parc était bien l'un des endroits qu'il affectionnait le plus, sans doute par sa simplicité et le calme étrangement apaisant qui régnait dans certain coin. Aprés une bréve marche, Robbie s'était installé contre un arbre, non loin d'une statue dont il ne connaissait toujours pas le nom, si seulement elle devait avoir un nom. Laissant pendant un instant les rayons lumineux du soleil réchauffé sa peau, il porta son saxophone a ses lévres, dévoilant à son mélodieux et envoutant, oubliant le temp et l'endroit où il se trouvait a présent.
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Beth Langdon
Deliziosa Admin
Beth Langdon


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MessageSujet: Re: Quand le temp s'évanouit [Res.]   Quand le temp s'évanouit [Res.] EmptyMar 20 Juin - 19:11

Après avoir reçu les clés de sa chambre de troisième année, avec, oh bonheur, une salle de bains pour elle toute seule, Beth retraversait le parc vers le bâtiment de l'internat où ses valises l'attendait, cachées sous l'escalier du rez-de-chaussée. Mais comme souvent, pendant qu'elle marchait, ses pensées s'évadèrent de leur axe qui devait la mener sans problème au bâtiment Napoli, et au lieu de ça, ses pas commencèrent à s'égarer dans le parc de l'école Botticelli, ce lieu si hors du temps et de l'espace dans lequel son art prenait tout son ampleur.

Fermant les yeux à demi et se laissant porter par la brise qui soufflait et agiter ses cheveux et sa robe, elle écartait les bras en croix et tournait sur elle-même de temps à autres, sentant quelques brins d'herbes chatouiller ses chevilles nues. Cette sensation de communion, d'osmose avec la nature, avec l'univers, elle ne pouvait l'avoir qu'ici, bercée par le chant des oiseaux et cette atmosphère si particulière de l'Italie, décuplée dans les enceintes de l'école, qui même si elles enfermaient l'école la libérait par cette protection de l'extérieur. Gambadant et sautillant comme une enfant, elle arriva sans la moindre idée de son moyen vers une statut à la beauté effarante, reproduction fidèle d'une oeuvre de la Renaissance. Le blancheur de sa pierre avait été maculée par le temps, et quelques herbes folles poussaient à ses côtés. Attendrie par ce tableau, Bee entendit résonner des notes d'un timbre chaud, jouant des airs jazzy comme elle les aimait.

Pivotant vers l'endroit d'où provenait le son, elle reconnut immédiatement Robbie, le super canon de l'école, musicien accompli et compositeur de talent. Il était en quatrième année et elle avait eu plusieurs fois l'occasion de lui parler grâce à Enzo qui était un ami commun. Et chaque fois, après leur discussion, Enzo lui donnait un coup de coude en lui rappelant la façon idiote qu'elle avait eu de rester bouche-bée devant Robbie. Bien sûr, c'était faux...

Hésitant entre l'interrompre ou rester à l'écouter, elle ne choisit aucune des deux solutions et s'approcha de l'arbre où il était adossé, s'appuyant aussi dessus de l'épaule, et fixant le musicien des yeux jusqu'à ce qu'il décide de terminer son morceau.
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